PASSE TELEPHERIQUE ?

Désolé pour l’affreux jeu de mots qui déshonore le haut de cette page, mais je n’ai pas pu résister. Mes pastels sont rarement féeriques, sinon quelquefois par leur contenu, mais moi j’ai l’humeur plutôt joyeuse. D’où le titre idiot.

Non, c’est la matière qui est féerique, l’outil. Le pastel vous permet les œuvres vaporeuses, plumeuses et évanescentes, autant que les compositions les plus compliquées, détaillées et hyperréalistes possibles. Sauf qu’il faut super-bien les tailler, hein, les bâtonnets, pour le côté minutieux du truc. On peut même faire du trompe-l’oeil, si on accepte de passer plus de temps à tailler qu’à dessiner !

Ah oui, au fait : j'ai pris une vraie photo féerique : allez à la page Croquis...

Bon, je vous laisse regarder, le bla-bla, ça va un moment !


Anthropomorphisme

Vous vous êtes peut-être demandé, au vu de mon image de profil, si les blogs n'étaient pas infiltrés par les loups-garous.
Je pense que l'apparence du peintre n'a aucune importance, la seule chose remarquable, c'est ce qu'il peint (en principe). J'ai donc substitué à ma tête celle de Dinah, ma petite chienne, une amie chère partie voir depuis si les croquettes étaient meilleures dans le monde astral. Elle est beaucoup plus avenante, expressive et bronzée que moi, et elle a l'air ravie de me servir d'avatar !

jeudi 11 juillet 2013

GUDULE

 
Portrait au pastel de mon amie Gudule 50 x 65 cm.

vendredi 4 novembre 2011

Au coeur de la musique


Ce grand pastel avait été exposé, avec une trentaine d'autres, au Novotel de Paris-Bercy, en face du Palais Omnisports. On me l'a piqué, ainsi que deux autres le lendemain même, dans cet endroit pourtant gardé jour et nuit, ce qui nous a forcés à tout retirer. Je suis très fier que mes modestes tableaux aient pu attiser ainsi la convoitise, et que quelqu'un, peut-être, a remplacé au mur le portrait de son aïeule moustachue par celui-ci.
Si les couleurs ne sont pas terribles, c'est parce que j'ai posté une photocopie couleur de l'ektachrome qui a servi à la présentation.

dimanche 30 octobre 2011

Ailleurs...

Un endroit improbable... 
...qui a fait l'affiche d'une petite expo dans une grande entreprise. J'aime les cailloux gélatineux, ça fait moins mal quand on les prend sur la gueule, et c'est un réel plaisir à dessiner.A cette occasion (une fois n'est pas coutume, parce que j'ai horreur de ça), j'ai tenu à laisser une petite symbolique dans ce paysage étrange qui manquait un peu de vie. C'est pourquoi certains rochers ont pris la forme, de gauche à droite, d'une tortue, d'un caïman, et d'un lapin. Ils sont censés représenter les forces en présence qui s'équilibreront dans ce petit monde : respectivement la patience, la prédation, et la performance, les 3 P, quoi, comme les soeurs Halliwell ! J'ai cependant veillé à ne pas trop accentuer les caractères, parce que c'est que des cailloux, quand même, hein ! Allez, bonne balade... 

mardi 20 septembre 2011

Harley-Davidson

Cette illustration au pastel a une histoire marrante. La moto est la première Harley-Davidson de Johnny Hallyday. Le dessin devait illustrer un article sur le chanteur dans un tout nouveau magazine people dans le genre de Gala, de Voici, de Youpla, ou quel que soit le nom idiot. Pressée par les impératifs de parution, probablement, la journaliste en charge de l'affaire a commis une série d'erreurs fatales au nouveau-né qui est sorti mort-né. En fait, seul le n° 1 a paru. Une de ces erreurs, plutôt chiante pour moi, était que les légendes des photos étaient mélangées. Mon tableau n'était associé ni à Johnny Hallyday, ni à Michel Chailley. Par contre, une jolie photo de paysage, un peu plus loin, m'était attribuée. Apparemment, le photographe n'a rien vu, heureusement. Une belle foirade, quoi !                             
               Mais j'aime bien mon dessin !

Tableaux récents

Harley-Davidson





Les enfants du maïs

Carotte 2
Ju







Chapeau melon

Carotte





mercredi 5 mai 2010

A buller dans des endroits magnifiques...

... à regarder évoluer des gens, des animaux... à pioncer en rêvant de choses improbables. Voilà en quoi consiste l'essentiel de mon travail de peintre. Et si j'avais produit tout ce qui me venait pendant mes longues périodes de fainéantise, je serais à coup sûr l'artiste le plus prolifique de la centurie !
   Merci à ceux (et surtout à celles) qui m'ont inspiré, à ce petit mollusque crayogénique qui me ressemble tellement, à ces arbres et ces cailloux que j'ai eu tant de mal à dessiner.